Bouger les lignes

Petit bilan sur l’édition 2018 des Imaginales !

© Cécile G. Cortes

Une édition particulière, en raison de contraintes techniques proches de l’événement, qui nous a obligés à nous focaliser sur l’organisation. Les auteurs des éditions NL Numeriklivres étaient présents, les livres en retard aussi, et c’est bien le plus important !

Exposer dans une tente à l’entrée de la bulle du livre n’est en général pas l’emplacement idéal, mais avec la chaleur exceptionnelle durant ces quatre jours de festival, nous n’allions pas nous en plaindre.

J’ai eu le plaisir de croiser des proches (qui se reconnaîtront), des moins proches, et même un sympathique festivalier allemand passionné par l’univers des romans et le travail de Dioramas & figurines sur la maquette ! (Danke Roland !)

Les Imaginales, par la force des choses, c’est une organisation à deux vitesses : il s’agit avant tout d’un festival de l’imaginaire, réputé pour ses invités prestigieux et ses conférences. Et puis, il y a le côté salon. Les exposants, la bulle du livre, et les tentes annexes. C’est loin d’être évident de s’y faire une place, mais en se prêtant au jeu, on a un peu l’impression « d’en faire partie. » Certains d’entre vous nous ont aidés à y croire. À continuer, à persévérer. Les retours de lecture, ou un simple mot gentil, sont trop rares.

Après deux ans à promouvoir activement La Voyageuse d’Ayanar, il est temps de passer à une suite : me concentrer sur les textes en soumissions, en cours d’écriture ou de révisions. J’espère vous annoncer de bonnes nouvelles bientôt !