Je me suis accordé un après-midi pour rencontrer Zina, l’un de mes enfants de papier dans le roman La Voyageuse d’Ayanar.
Ce que vous allez lire relève de la pure fiction ! La ressemblance à la fin avec des bêta-lecteurs ou bêta-lectrices n’a aucun but de citer une personne en particulier, ce n’est qu’un hommage à ceux qui prennent de leur temps pour le texte des autres ! Je n’ai pas non plus résisté, qu’ils me pardonnent si l’un d’eux venait à lire mes pitreries (probabilité très infime, mais jamais nulle), à des clins d’œils à Messieurs Besson pour son projet de Cité du cinéma, George Lucas et Ben Harper… Éclectique ?
Dans la cité de Pyros, menacée par la pénurie et les fièvres de sécheresse, Zina se retrouve livrée à la rue. Si elle ne trouve pas rapidement de l’eau, sa mère va mourir. Les étranges aptitudes mentales de la jeune fille ne pourront la sauver. S’agirait-il du pouvoir des éclairés, des mystiques prophétisant la venue d’une ère nouvelle, traqués par les autorités de la ligue d’Antelonya ?
Porteur au quai du ciel, point de départ des voiliers solaires, Émilion ne croit pas à ces légendes. Responsable de l’accident tragique qui emporta sa sœur Éline, le garçon a fui sa famille et son passé. Lorsqu’il rencontre Zina, condamnée pour avoir volé de l’eau au centre de rationnement, son désir de se racheter est plus fort : il l’aide à s’échapper. Les deux adolescents, devenus fugitifs, vont se retrouver confrontés à leurs origines, aux civilisations descendantes du peuple des étoiles.