Baptiste Trotignon nous fait l’honneur de sa plume pour la préface du roman ! Quelque part, si j’ai écrit cette histoire, c’est un peu de sa faute, et celle de tous les musiciens qui m’inspirent et me font voyager. Un immense merci à eux !
Heu… Il se passe un truc, j’ai raté un épisode ? Chez moi toute la journée entre la chambre, le jardin et le salon, me voilà incapable de produire le moindre paragraphe ? Arrête de te plaindre, me susurre un reste de motivation bien planqué, t’as un jardin, au moins, et il fait beau ! (Jusqu’ici tout va bien.)
On en regretterait presque cette vie trépidante, celle d’avant. Déplier tant bien que mal l’écran de son portable dans le métro, courir en permanence après le temps, se satisfaire des petites victoires du quotidien, lorsqu’enfin on se trouve une place assise pour expédier cette scène récalcitrante.